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Sara Lindqvist, 28 ans, habite Haninge en Suède. Amy Harris, 65 ans, vit dans l'Iowa. Suite à un échange épistolaire de deux années, la jeune femme se décide à rendre visite à Amy, mais à son arrivée, elle apprend avec stupeur son décès. Perdue dans la petite ville américaine de Broken Wheel, elle rencontre plusieurs personnes qui l'aident à monter une librairie.

A sa mort, Aymar de Fortjoie laisse à ses filles un château délabré. Puisque sa dernière volonté les enjoint de continuer à y abriter des artistes désargentés, les orphelines cherchent une solution pour éviter la déroute financière. En proposant aux riches dames de la région de poser pour leurs protégés, elles ne se doutent pas qu'un scandale est sur le point d'éclater.

A 18 ans, Anita Grankvist se fixe trois objectifs : devenir indépendante, apprendre à conduire une moto et acheter une maison. Vingt ans plus tard, Anita est autonome mais a laissé de côté ses autres rêves. Le départ de sa fille pour l'université lui donne du temps libre, et l'occasion de réaliser, à la quarantaine, ses rêves de jeune fille.

On meurt tous un jour... pas forcément dès le premier chapitre ! C'est pourtant ce qui arrive à Henny. Mais elle se refuse à quitter notre monde sans avoir accompli une dernière tâche : retrouver, réconcilier et rendre heureux ses anciens amis. Drôle, farfelue et émouvante, Henny est l'amie qu'on rêve d'avoir à ses côtés... vivante de préférence !

Un remake honnête mais dénué d'originalité du film japonais "Ring"... Malgré des personnages négligés et un scénario américanisé, le film remplit son contrat et on a les chocottes !...

Nakata traverse le Pacifique pour réaliser le remake hollywoodien de son propre film... Ce qui veut dire des effets encore plus spectaculaires, des filtres encore plus bleutés...

En 1973, lors d'une perquisition à la ferme de Thomas Hewitt, ancien employé d'un abattoir, la police découvrait les restes de 33 victimes humaines. Cette découverte eut l'effet d'une bombe sur l'opinion. Arborant les grotesques masques de chair de ses victimes et brandissant une tronçonneuse, le tueur fut surnommé Leatherface. Les autorités locales abattirent un homme portant un masque de cuir, ce qui mit un terme brutal à l'affaire, mais plusieurs personnes accusèrent la police d'avoir tué un innocent. La seule victime ayant survécu au massacre brise le silence.