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Lycéen studieux à qui tout réussit, Yatora éprouve depuis toujours une obsédante sensation de vide intérieur, jusqu'au jour où il tombe par hasard sur un tableau qui le subjugue. Il comprend que peindre lui permet d'exprimer ses émotions et de se révéler. Cette découverte le pousse à se livrer corps et âme à la peinture et à tenter le concours d'entrée de la plus sélective école des beaux-arts.

Yatora poursuit son désir de réaliser des études prestigieuses sous l'impulsion de son entourage. Il espère intégrer la prestigieuse université des arts de Tokyo mais doit pour cela sortir de sa zone de confort et surmonter sa peur d'échouer.

A suite des aventures de Yatora, passionné de peinture, et décidé à intégrer l'École des beaux-arts la plus sélective. Les concours d'admission approchent. Le jeune homme est angoissé par son manque d'expérience. Mais sa professeure d'arts plastiques ainsi que Mori le soutiennent inconditionnellement. Galvanisé, il entreprend de réaliser une toile monumentale.

À un mois de l’examen d’admission de Geidai, Mme Ooba, la professeure à la prépa d’Art, pointe du doigt les faiblesses de Yatora. Un coup dur pour le jeune garçon qui se donne corps et âme pour réussir. À quelques semaines d’affronter la première épreuve du concours tant redouté, il perd complètement pied. La douleur et la peur le paralysent. Mais il est encore temps de tirer les enseignements de ce passage à vide et de résister au renoncement...

À un mois de l’examen d’admission de Geidai, Mme Ooba, la professeure à la prépa d’Art, pointe du doigt les faiblesses de Yatora. Un coup dur pour le jeune garçon qui se donne corps et âme pour réussir. À quelques semaines d’affronter la première épreuve du concours tant redouté, il perd complètement pied. La douleur et la peur le paralysent. Mais il est encore temps de tirer les enseignements de ce passage à vide et de résister au renoncement...

Après avoir réussi la première épreuve du Geidai grâce à son autoportrait, Yatora aborde la suite avec sérénité. Mais le jour J un mal de tête le terrasse et son éruption cutanée s'intensifie. Incapable de se concentrer, il s'endort en plein examen.

Yatora a été admis au concours Geidai en s'y présentant dès la première fois. Il intègre ainsi l'Université des arts de Tokyo. S'il y fait des rencontres surprenantes, il doit également faire face à un système violent et destructeur.

A Geidai, tout est beaucoup plus compliqué que prévu pour Yatora. Il se sent incompétent par rapport aux autres étudiants et les professeurs lui font comprendre qu'il doit commencer par oublier tout ce qu'il a appris jusqu'ici pour trouver sa propre identité artistique.

Yatora et ses camarades travaillent d'arrache-pied afin de fabriquer le mikoshi du festival culturel de Geidai. Exténués par l'ampleur de la tâche et la chaleur écrasante de l'été, ils reçoivent des renforts pour les aider à finaliser le projet. Yatora, qui n'a pas peint des vacances, peine à retrouver le plaisir de dessiner.

Les étudiants de Geidai débutent leur projet de fin d'année, qui doit déterminer leur passage au niveau supérieur. L'enjeu est de taille car le sujet est libre et des artistes de renom évalueront leurs oeuvres. Après avoir essuyé plusieurs coups durs, Yotasuke ne vient pratiquement plus en cours. Yatora tente de lui remonter le moral, mais n'est pas sûr lui-même d'aimer encore la peinture.

La première année à Gedai se conclut amèrement pour Yatora, qui est dégoûté de la peinture. Afin de se changer les idées, il postule dans une école de dessin pour donner des cours aux enfants. Il découvre avec surprise que la gérante de l'atelier est madame Saeki, son ancienne professeur d'arts plastiques.

Yatora commence sa deuxième année d'études artistiques avec appréhension, d'autant plus que son professeur est l'impitoyable monsieur Inukai. Mais des retrouvailles et de nouvelles rencontres l'aident à retrouver son goût pour la peinture.

Après avoir rencontré Kirio Fuji, la présidente du collectif d'artistes No marks, Yatora sent un vent nouveau souffler sur son approche de l'art. Malgré toute l'admiration qu'il lui voue, le jeune homme est encore hésitant sur la manière dont il doit la fréquenter.